À la jeune pintade
Je te mets en capilotade
Si je te prends à batailler :
Assez longtemps le poulailler
A souffert ta rodomontade.
Je t’en préviens, jeune pintade,
Comme un bourreau, sans sourciller.
Je te mets en capilotade
Si je te prends à batailler.
Je te passe encor la boutade
Et ta façon de piailler
Qui m’empêche de travailler ;
Mais, à la première incartade,
Je te mets en capilotade !
poésie de Maurice Rollinat
Ajouté par Poetry Lover
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