Un bon mari ne se souvient jamais de l'âge de sa femme, mais de son anniversaire, toujours.
citation de Jacques Audiberti
Ajouté par Vasiloiu Valerica
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Des citations similaires
Plus une femme aime son mari, plus elle le corrige de ses défauts ; plus un mari aime sa femme, plus il risque d'augmenter ses défauts.
citation de André Chénier
Ajouté par Micheleflowerbomb
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La bonne femme fait le bon mari.
proverbes français
Ajouté par Micheleflowerbomb
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Je n'ai jamais pensé que cette voûte ronde
Je n'ai jamais pensé que cette voûte ronde
Couvrît rien de constant : mais je veux désormais,
Je veux, mon cher Morel, croire plus que jamais
Que dessous ce grand Tout rien ferme ne se fonde,
Puisque celui qui fut de la terre et de l'onde
Le tonnerre et l'effroi, las de porter le faix,
Veut d'un cloître borner la grandeur de ses faits,
Et pour servir à Dieu abandonner le monde.
Mais quoi ? que dirons-nous de cet autre vieillard,
Lequel ayant passé son âge plus gaillard
Au service de Dieu, ores César imite ?
Je ne sais qui des deux est le moins abusé :
Mais je pense, Morel, qu'il est fort malaisé
Que l'un soit bon guerrier, ni l'autre bon ermite.
poésie de Joachim du Bellay
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La femme qui s'entend avec son mari fait tourner la lune entre ses doigts.
proverbs arabes
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Qu’est-ce qu’une maîtresse ? Une femme près de laquelle on ne se souvient plus de ce qu’on sait par coeur, c’est-à-dire de tous les défauts de son sexe.
citation de Chamfort
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La beauté de la femme est un fruit délicat: elle fleurit partout, mais elle ne mûrit qu'en espalier contre un mari.
citation de Edmond About
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Le Pâtre
Que ce pâtre à jambe de bois
Est donc vieux malgré son jeune âge !
— Il chante, comme c’est l’usage.
Mais quelle épouvantable voix !
Jamais sourire plus narquois
N’a ridé plus hideux visage.
Que ce pâtre à jambe de bois
Est donc vieux malgré son jeune âge !
Voici que ma chienne aux abois
Flaire un calamiteux présage ;
Quant à moi, dans le paysage,
Je ne regarde et je ne vois
Que ce pâtre à jambe de bois.
poésie de Maurice Rollinat
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Il est presque impossible de rendre heureux son propre mari; c'est infiniment plus facile avec le mari d'une autre.
citation de Zsa Zsa Gabor
Ajouté par Simona Enache
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Le Jambon
Je le vois toujours, ce jambon,
Avec un appétit nouveau.
Fier, il pendait au soliveau
Antique et noir comme un charbon.
Oh ! devait-il être assez bon !
Gros comme une cuisse de veau !
Je le vois toujours, ce jambon.
Avec un appétit nouveau.
Il me hantait pour tout de bon
L’estomac comme le cerveau,
Mais je viens d’en manger. Bravo !
Cette chair est un vrai bonbon.
— Je le vois toujours ce jambon.
poésie de Maurice Rollinat
Ajouté par Poetry Lover
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Rien ne fait autant honneur à une femme que sa patience et rien ne lui fait si peu honneur que la patience de son mari.
Joseph Joubert dans Carnets
Ajouté par Simona Enache
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Croissez et multipliez
Ne sortant pas de faire jeûne,
Une fois, le père Lucas,
Sincère, et du fond de son âme,
Disait à ses quatre grands gars,
Tous, de l’aîné jusqu’au plus jeune,
Bien en âge de prendre femme :
« Mes enfants, faut peupler d’son espèc’ ! Ya pas d’trêve !
Faut q’tout c’qui vit engendre ! et qu’toujours s’accroissant,
Les êtr’ les uns aux autr’, sans fin, se r’pass’ leur sang,
Tel’ qu’aux racin’ des arb’ la terr’ coule sa sève.
Tout’ femelle est un champ où l’bon mâle i’ doit s’mer
La grain’ d’humanité qu’est dans l’grenier d’son être :
B’sogn’ douce et ben commod’ ! Puisqu’ y a besoin q’d’aimer,
Et q’sans plaisi’ pour l’homm’, l’enfant pourrait pas naître.
Dans c’champ-là qu’est l’plus nobl’ faut fair’ de beaux sillons,
Q’l’homme y mèn’ la charrue au c’mand’ment d’la nature,
Avec la bell’ chaleur du sang pour aiguillon
D’l’amour qui doit tout l’temps penser à sa culture !
Dans ceux chos’là, faut pas, trop à sa fantaisie,
Écouter les conseils du vice et d’la boisson.
En s’mant, i’ faut toujours songer à la moisson,
Féconder sérieusement l’épous’ qu’on a choisie.
Faut êt’ chaud, mais d’instinct réglé comm’ ceux bêt’ fauves ;
D’êt’ trop paillard ou d’l’êt pas assez… C’est un tort !
Dit’ vous ben qu’vous êt’ vu, quand l’amour joint les corps,
Par le grand oeil d’en haut dont pas un homm’ se sauve.
Dieu merci ! vous n’êt’ pas des poussifs à teint pâle,
Vous avez bonn’ poitrine et fort tempérament,
Vous d’vez donc tous les quat’ faire offic’ de bons mâles,
Accomplir sans tricher vot’ destin d’engross’ment.
Mangez fort ! et fait’-vous du sang, des muscl’, des os !
Buvez ! mais sans jamais perd’ la raison d’un’ ligne ;
Pas trop d’pein’ ! Ceux qui s’us’ au travail sont des sots.
Réglez la sueur du corps ainsi q’le jus d’la vigne !
Comm’ faut q’la femm’ soit pure avec des yeux ardents,
Q’fièr’ dans les bras d’l’époux qui n’cherch’ qu’à la rend’ mère
Ell’ yoffr’ l’instant d’bonheur qui fait claquer ses dents
Pour que leur vie ensemb’ ne soit jamais amère.
Voyez-vous ? l’trôn’ d’un’ femme ? C’est l’lit d’son cher époux.
C’est là q’jeune ell’ pratiq’ l’amour sans badinage,
Et q’vieille ell’ prend, des fois, encore un r’pos ben doux
Au long d’son vieux, après les soucis du ménage.
Là-d’sus buvons un coup ! dans ceux chos’ de l’amour
J’vous souhait’ de pas vous j’ter comme un goret qui s’vautre,
Et que, pour chacun d’vous, l’plus cher désir toujours :
Ça soit d’faire des enfants qui puiss’ en faire d’autres !
poésie de Maurice Rollinat
Ajouté par Poetry Lover
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L'âge moderne représente le triomphe de la médiocrité collective.
citation de Gustave Le Bon
Ajouté par Micheleflowerbomb
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Le meilleur mari qu'une femme puisse avoir, c'est un archéologue. Plus elle devient vieille, et plus il s'intéresse à elle.
citation de Agatha Christie
Ajouté par Micheleflowerbomb
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M. Smith: Il y a une chose que je ne comprends pas. Pourquoi à la rubrique de l'état civil, dans le journal, donne-t-on toujours l'âge des personnes décédées et jamais celui des nouveau-nés? C'est un non-sens.
réplique de La cantatrice chauve, scénario de Eugène Ionesco (11 mai 1950)
Ajouté par Dan Costinaş
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Une femme a toujours le droit de nier ce qu'un homme n'a jamais le droit de dire.
Pierre-Louis de Lacretelle l'Aîné dans Logique, Métaphysique et Morale (1789)
Ajouté par George Budoi
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On devrait toujours être amoureux. C'est la raison pour laquelle on ne devrait jamais se marier.
Oscar Wilde dans Une Femme sans importance
Ajouté par Simona Enache
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La Cornemuse
Sa cornemuse dans les bois
Geignait comme le vent qui brame
Et jamais le cerf aux abois,
Jamais le saule ni la rame,
N’ont pleuré comme cette voix.
Ces sons de flûte et de hautbois
Semblaient râlés par une femme.
Oh ! près du carrefour des croix,
Sa cornemuse !
Il est mort. Mais, sous les cieux froids,
Aussitôt que la nuit se trame,
Toujours, tout au fond de mon âme,
Là, dans le coin des vieux effrois,
J’entends gémir, comme autrefois,
Sa cornemuse.
poésie de Maurice Rollinat
Ajouté par Poetry Lover
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A une morte
Tu avances toujours aux confins de la nuit
le feu s’est éteint où finit la patience
même les pas sur des chemins imprévus
n’éveillent plus la magie des buts
braises braises
l’amour s’en souvient
rien ne nous distrait de l’attente assise
sur les genoux enfants aux plénitudes chaudes
pourrais-je oublier le son de cette voix
qui contribue à répandre la lumière
au-delà de toute présence
fraises fraises
à l’appel des lèvres
comme la mer contenue
toute une vie enlacée
et sur les innombrables poitrines des vagues
l’incessant froissement des ours effleurés
rêves rêves
au silence de braise
pourrais-je oublier l’attente comblée
le temps ramassé sur lui-même
le jour jaillissant de chaque parole dite
le long embrasement de la durée conquise
sèves sèves
ma soif s’en souvient.
poésie de Tristan Tzara (1961)
Ajouté par Simona Enache
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Cousin, parle toujours des vices en commun,
Cousin, parle toujours des vices en commun,
Et ne discours jamais d'affaires à la table,
Mais surtout garde-toi d'être trop véritable,
Si en particulier tu parles de quelqu'un.
Ne commets ton secret à la foi d'un chacun,
Ne dis rien qui ne soit pour le moins vraisemblable
Si tu mens, que ce soit pour chose profitable
Et qui ne tourne point au déshonneur d'aucun.
Surtout garde-toi bien d'être double en paroles,
Et n'use sans propos de finesses frivoles,
Pour acquérir le bruit d'être bon courtisan.
L'artifice caché, c'est le vrai artifice :
La souris bien souvent périt par son indice,
Et souvent par son art se trompe l'artisan.
poésie de Joachim du Bellay
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La Ressusciteuse
Je dis à la bergère : « Où donc est ta bessonne !
Oh ! mais, comme tu lui ressembles ! »
La fille soupira : « Ma sœur est mort’ ! personne
N’nous verra plus jamais ensemble.
C’est vrai que j’suis son doub’, son r’venant q’l’on dirait,
Celui-là qui me r’gard’ la voit.
De visag’, de parler, d’taill’, j’suis tout son portrait :
J’suis elle, comme elle était moi.
Je m’la ressuscit’ ben souvent.
J’prends tout c’quell’ portait d’son vivant,
À sa façon, j’m’en habill’ telle,
Et puis, d’vant un’ glac’, pour tout d’bon,
J’y cause… et, lorsque j’y réponds,
Je me figure que c’est elle !
poésie de Maurice Rollinat
Ajouté par Poetry Lover
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