Les remèdes aux plus grandes maladies ne se trouvent pas toujours dans la pharmacie.
citation de Giovanni Casanova
Ajouté par Micheleflowerbomb
Commentez! | Vote! | Copie!
Des citations similaires
Les enfants trouvent tout dans rien, les hommes ne trouvent rien dans tout.
citation de Giacomo Leopardi
Ajouté par Micheleflowerbomb
Commentez! | Vote! | Copie!
Pour commencer, nous allons faire les petites choses faciles. Petit à petit, nous nous attaquerons aux grandes.Et, quand les grandes choses seront faites, nous entreprendrons les choses impossibles.
citation de Saint-François d'Assise
Ajouté par Micheleflowerbomb
Commentez! | Vote! | Copie!
Aux grandes âmes, les grands challenges.
citation de Anne Marquier
Ajouté par Micheleflowerbomb
Commentez! | Vote! | Copie!
C'est dans les plaies des arbres que les ętres vivants de petite taille trouvent un abri.
aphorisme de Valeriu Butulescu, traduction par Genevieve Gomez
Ajouté par Simona Enache
Commentez! | Vote! | Copie!
Il y a des maladies qui ne se guérissent pas avec de l'argent, mais avec de l'amour.
citation de Mère Teresa
Ajouté par Micheleflowerbomb
Commentez! | Vote! | Copie!
La raison pour laquelle tant de gens trouvent qu'il est si difficile d'être heureux c'est qu'ils imaginent toujours le passé meilleur qu'il ne l'était, le présent pire qu'il n'est vraiment et le futur plus compliqué qu'il ne le sera.
citation de Marcel Pagnol
Ajouté par Micheleflowerbomb
Commentez! | Vote! | Copie!
A mesure qu'on a plus d'esprit, on trouve qu'il y a plus d'hommes originaux. Les gens du commun ne trouvent pas de différence entre les hommes.
Blaise Pascal dans Pensées (1670)
Ajouté par Simona Enache
Commentez! | Vote! | Copie!
Rien n'est petit dans l'amour. Ceux qui attendent les grandes occasions pour prouver leur tendresse ne savent pas aimer.
citation de Laure Conan
Ajouté par Vasiloiu Valerica
Commentez! | Vote! | Copie!
L'homme obtus manque d'esprit, le sot d'entendement.
Emmanuel Kant dans L’Essai sur les maladies de la tête
Ajouté par Simona Enache
Commentez! | Vote! | Copie!
L'Amazone
Sur les grandes bouses de vache
Le soleil met un ton pourpré.
Elle chevauche au fond du pré
Avec un petit air bravache.
Elle effleure de sa cravache
Le cou d’un alezan doré.
Sur les grandes bouses de vache
Le soleil met un ton pourpré.
Mais son long voile bleu la cache,
Je ne puis la voir à mon gré ;
Et mon regard tombe navré,
Et machinalement s’attache
Sur les grandes bouses de vache.
poésie de Maurice Rollinat
Ajouté par Poetry Lover
Commentez! | Vote! | Copie!
Les gens ne cherchent pas le bonheur, mais le confort, et une fois qu'ils le trouvent,ils pensent qu'ils sont heureux !
citation de Octav Bibere
Ajouté par Kitzy Bush
Commentez! | Vote! | Copie!
Le meilleur médecin est la nature : elle guérit les trois quarts des maladies et ne dit jamais de mal de ses confrères.
citation de Louis Pasteur
Ajouté par Micheleflowerbomb
Commentez! | Vote! | Copie!
Chanson du faucher
Les blonds épis tombent fauchés
L’abeille butine et bourdonne.
Dans les foins les grillons cachés
Chantent l’été que Dieu nous donne.
Dieu donne aux sources leur fraîcheur;
Au champ, pour peu que Dieu le veuille,
L’ombre repose le faucher,
Car il donne à l’arbre sa feuille.
Dieu donne au faucheur la santé,
Et la récolte à ses campagnes;
Il donne aux filles la beauté
Et la douceur à nos compagnes.
Dieu qui veille sur l’humble nid
De l’oiseau blotti dans la mousse,
Pour notre peine, nous bénit
Et rend notre existence douce.
Chantons tous ce Dieu dont la main,
Toujours prête, toujours clémente,
Nous guide dans le bon chemin
Et nous épargne la tourmente.
Chantons-le donc matin et soir,
Et que notre chant lui paraisse
Un pieux parfum d’encensoir,
Un hymne de notre allègresse.
poésie de Iulia Hașdeu de Confidences
Ajouté par Simona Enache
Commentez! | Vote! | Copie! | En roumain
Le Soleil
Le Soleil est le tout-puissant
Qui féconde, en éblouissant,
Plaines, coteaux, monts et vallées :
Les immensités étalées
Sous leur plafond d'azur luisant.
Il éclate retentissant
Jusqu'aux ravines désolées,
Fait les terres bariolées,
Rend irisé, phosphorescent,
Le dos houleux des mers gonflées.
Il trouve tout obéissant :
Bois enfouis, roches voilées,
Les eaux courantes ou gelées,
Et l'ombre elle-même le sent.
Au zénith d'où vont jaillissant
Ses lumières immaculées,
Fixe il trône ! et, quand il descend
Dans l'air frais, par lui rougissant,
Il jette aux profondeurs troublées
Ses deux grandes pourpres mêlées :
Celle du feu, celle du sang.
Le Soleil est le tout-puissant !
poésie de Maurice Rollinat
Ajouté par Poetry Lover
Commentez! | Vote! | Copie!
Le Soleil
Le Soleil est le tout-puissant
Qui féconde, en éblouissant,
Plaines, coteaux, monts et vallées :
Les immensités étalées
Sous leur plafond d’azur luisant.
Il éclate retentissant
Jusqu’aux ravines désolées,
Fait les terres bariolées,
Rend irisé, phosphorescent,
Le dos houleux des mers gonflées.
Il trouve tout obéissant :
Bois enfouis, roches voilées,
Les eaux courantes ou gelées,
Et l’ombre elle-même le sent.
Au zénith d’où vont jaillissant
Ses lumières immaculées,
Fixe il trône ! et, quand il descend
Dans l’air frais, par lui rougissant,
Il jette aux profondeurs troublées
Ses deux grandes pourpres mêlées :
Celle du feu, celle du sang.
Le Soleil est le tout-puissant !
poésie de Maurice Rollinat
Ajouté par Poetry Lover
Commentez! | Vote! | Copie!
Pantouns des saisons
Dans la vie est toujours un printemps
Avec la danse au vent de fleurs des champs.
Dans mon âme est toujours un printemps
Quand je suis tranquille, contente.
Dans la vie est toujours l’été,
Et le soleil et la chaleur sont arrivés.
Dans mon âme est toujours l’été,
Quand je peux faire ce à quoi j’ai pensé.
Dans la vie est toujours l’automne,
Quand tombent et feuilles et pommes.
Dans mon âme est toujours l’automne,
Quand j’aime très fort un homme.
Je crois que la vie est l’hiver
Avec le blanc, dans le monde entier.
Dans mon âme est toujours l’hiver
Quand j’aime tout ce que je dois faire.
poésie de Cornelia Păun Heinzel de Pantouns Lettres de Malaisie (1 septembre 2013)
Ajouté par Cornelia Păun Heinzel
Commentez! | Vote! | Copie!
Dans les grandes choses, les hommes se montrent comme il leur convient de se montrer ; dans les petites, ils se montrent comme ils sont.
citation de Chamfort
Ajouté par Micheleflowerbomb
Commentez! | Vote! | Copie!
Il y a des esprits qui vont à l'erreur par toutes les vérités; il en est de plus heureux qui vont aux grandes vérités par toutes les erreurs.
Joseph Joubert dans Carnets
Ajouté par Simona Enache
Commentez! | Vote! | Copie!
À une Mystérieuse
J’aime tes longs cheveux et tes pâles menottes,
Tes petits pieds d’enfant, aux ongles retroussés,
Tes yeux toujours pensifs et jamais courroucés,
Ta bouche de velours et tes fines quenottes.
Puis, j’adore ton cœur où, comme des linottes,
Gazouillent à loisir tes rêves cadencés ;
Ton cœur, aux sentiments touffus et nuancés,
Et ton esprit qui jase avec toutes les notes.
Ton frôlement me fait tressaillir jusqu’aux os
Et dans ses regards pleins d’invisibles roseaux
Ta prunelle mystique enveloppe mon âme :
Donc, tu m’as tout entier, tu me subjugues ! Mais,
En toi, je ne sais pas et ne saurai jamais
Ce que j’aime le mieux de l’Ange ou de la Femme !
poésie de Maurice Rollinat
Ajouté par Poetry Lover
Commentez! | Vote! | Copie!
La Buveuse d'absinthe
Elle était toujours enceinte,
Et puis elle avait un air...
Pauvre buveuse d’absinthe !
Elle vivait dans la crainte
De son ignoble partner :
Elle était toujours enceinte.
Par les nuits où le ciel suinte,
Elle couchait en plein air.
Pauvre buveuse d’absinthe !
Ceux que la débauche éreinte
La lorgnaient d’un œil amer :
Elle était toujours enceinte !
Dans Paris, ce labyrinthe
Immense comme la mer,
Pauvre buveuse d’absinthe,
Elle allait, prunelle éteinte,
Rampant aux murs comme un ver...
Elle était toujours enceinte !
Oh ! cette jupe déteinte
Qui se bombait chaque hiver !
Pauvre buveuse d’absinthe !
Sa voix n’était qu’une plainte,
Son estomac qu’un cancer :
Elle était toujours enceinte !
Quelle farouche complainte
Dira son hideux spencer !
Pauvre buveuse d’absinthe !
Je la revois, pauvre Aminte,
Comme si c’était hier :
Elle était toujours enceinte !
Elle effrayait maint et mainte
Rien qu’en tournant sa cuiller ;
Pauvre buveuse d’absinthe !
Quand elle avait une quinte
De toux, — oh ! qu’elle a souffert,
Elle était toujours enceinte ! —
Elle râlait : « Ça m’esquinte !
Je suis déjà dans l’enfer. »
Pauvre buveuse d’absinthe !
Or elle but une pinte
De l’affreux liquide vert :
Elle était toujours enceinte !
Et l’agonie était peinte
Sur son œil à peine ouvert ;
Pauvre buveuse d’absinthe !
Quand son amant dit sans feinte :
« D’débarras, c’en est un fier !
« Elle était toujours enceinte. »
— Pauvre buveuse d’absinthe !
poésie de Maurice Rollinat
Ajouté par Poetry Lover
Commentez! | Vote! | Copie!