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Neale Donald Walsch

Tout ce que tu vois dans ton monde est le résultat de l'idée que tu t'en fais.

citation de Neale Donald WalschSignalez un problèmeDes citations similaires
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Des citations similaires

Edgar Degas

Aucun art n'est aussi peu spontané que le mien. Ce que je fais est le résultat de la réflexion et de l'étude des grands maîtres.

citation de Edgar DegasSignalez un problèmeDes citations similaires
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Tu veux un monde meilleur, plus fraternel, plus juste ? Eh bien commence à le faire : qui t’en empêche ? Fais-le en toi et autour de toi, fais-le avec ceux qui le veulent. Fais-le en petit, et il grandira.

citation de Lanza del VastoSignalez un problèmeDes citations similaires
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Finalement sur le point que Morphée

Finalement sur le point que Morphée
Plus véritable apparaît à nos yeux,
Fâché de voir l'inconstance des cieux,
Je vois venir la soeur du grand Typhée :

Qui bravement d'un morion coiffée
En majesté semblait égale aux dieux,
Et sur le bord d'un fleuve audacieux
De tout le monde érigeait un trophée.

Cent rois vaincus gémissaient à ses pieds,
Les bras aux dos honteusement liés :
Lors effrayé de voir telle merveille;

Le ciel encor je lui vois guerroyer,
Puis tout à coup je la vois foudroyer,
Et du grand bruit en sursaut je m'éveille.

poésie de Joachim du BellaySignalez un problèmeDes citations similaires
Ajouté par Poetry Lover
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Si nostre vie est moins qu'une journée

Si nostre vie est moins qu'une journée
En l'eternel, si l'an qui faict le tour
Chasse nos jours sans espoir de retour,
Si périssable est toute chose née,

Que songes-tu, mon ame emprisonnée ?
Pourquoy te plaist l'obscur de nostre jour,
Si pour voler en un plus cler sejour,
Tu as au dos l'aele bien empanée ?

La, est le bien que tout esprit desire,
La, le repos où tout le monde aspire,
La, est l'amour, la, le plaisir encore.

La, ô mon ame au plus hault ciel guidée !
Tu y pouras recongnoistre l'Idée
De la beauté, qu'en ce monde j'adore.

poésie de Joachim du BellaySignalez un problèmeDes citations similaires
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Les Antiquités de Rome

Nouveau venu, qui cherches Rome en Rome
Et rien de Rome en Rome n’aperçois,
Ces vieux palais, ces vieux arcs que tu vois
Et ces vieux murs, c’est ce que Rome on nomme.

Vois quel orgueil, quelle ruine et comme
Celle qui mit le monde sous ses lois
Pour dompter tout, se dompta quelquefois
Et devint proie au temps, qui tout consomme.

Rome de Rome est le seul monument,
Et Rome Rome a vaincu seulement.
Le Tibre seul, qui vers la mer s’enfuit,

Reste de Rome. O mondaine inconstance !
Ce qui est ferme est par le temps détruit
Et ce qui fuit, au temps fait résistance.

poésie de Joachim du BellaySignalez un problèmeDes citations similaires
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Le plagiat est nécessaire. Le progrès l'implique. Il serre de près la phrase d'un auteur, se sert de ses expressions, efface une idée fausse, la remplace par l'idée juste.

Contele de Lautreamont dans Poésies, II (1870)Signalez un problèmeDes citations similaires
Ajouté par Simona Enache
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Je sais par expérience que lorsqu'on dit à la vie, avec calme et détermination : "je te fais confiance, fais ce que tu dois", la vie répond à vos besoins, le plus souvent de façon tout à fait inattendue.

citation de Olga IlyinSignalez un problèmeDes citations similaires
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Tout ce que nous sommes, est le résultat de ce que nous avons pensé.

citation de BouddhaSignalez un problèmeDes citations similaires
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Doulcin, quand quelquefois je vois ces pauvres filles

Doulcin, quand quelquefois je vois ces pauvres filles
Qui ont le diable au corps, ou le semblent avoir,
D'une horrible façon corps et tête mouvoir,
Et faire ce qu'on dit de ces vieilles Sibylles :

Quand je vois les plus forts se retrouver débiles,
Voulant forcer en vain leur forcené pouvoir :
Et quand même j'y vois perdre tout leur savoir
Ceux qui sont en votre art tenus des plus habiles :

Quand effroyablement écrier je les oy,
Et quand le blanc des yeux renverser je leur voy,
Tout le poil me hérisse, et ne sais plus que dire.

Mais quand je vois un moine avecques son latin
Leur tâter haut et bas le ventre et le tétin,
Cette frayeur se passe, et suis contraint de rire.

poésie de Joachim du BellaySignalez un problèmeDes citations similaires
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Blaise Pascal

Ce n'est pas dans Montaigne, mais dans moi, que je trouve tout ce que j'y vois.

Blaise Pascal dans Pensées (1670)Signalez un problèmeDes citations similaires
Ajouté par Simona Enache
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Ionuţ Caragea

On peut être supérieur dans le monde où l’on naît, on n’est dieu que dans le monde qu’on crée tout seul.

aphorisme de Ionuţ Caragea de Aphorismes jaillis de l’écume des flots, Éditions Stellamaris, Brest, France (2018)Signalez un problèmeDes citations similaires
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Fais bien et laisse dire le monde.

proverbes françaisSignalez un problèmeDes citations similaires
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Charles Baudelaire

L'invitation au voyage

Mon enfant, ma soeur,
Songe à la douceur
D'aller là-bas, vivre ensemble!
Aimer à loisir,
Aimer et mourir
Au pays qui te ressemble!

Les soleils mouillés
De ces ciels brouillés
Pour mon esprit ont les charmes
Si mystérieux
De tes traîtres yeux,
Brillant à travers leurs larmes.

Là, tout n'est qu'ordre et beauté,
Luxe, calme et volupté.

Des meubles luisants,
Polis par les ans,
Décoreraient notre chambre;
Les plus rares fleurs
Mêlant leurs odeurs
Aux vagues senteurs de l'ambre,

Les riches plafonds,
Les miroirs profonds,
La splendeur orientale,
Tout y parlerait
À l'âme en secret
Sa douce langue natale.

Là, tout n'est qu'ordre et beauté,
Luxe, calme et volupté.

Vois sur ces canaux
Dormir ces vaisseaux
Dont l'humeur est vagabonde;
C'est pour assouvir
Ton moindre désir
Qu'ils viennent du bout du monde.

Les soleils couchants
Revêtent les champs,
Les canaux, la ville entière,
D'hyacinthe et d'or;
Le monde s'endort
Dans une chaude lumière.

Là, tout n'est qu'ordre et beauté,
Luxe, calme et volupté.

poésie de Charles Baudelaire de Les Fleurs du mal (1857)Signalez un problèmeDes citations similaires
Ajouté par anonyme
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Poème en arc de cercle

quand je fais de la géométrie
je reste assis
je prends l’axe des arbres
une peupleraie c’est le plus pratique
tout y est aligné
ça évite les calculs fastidieux
surtout quand on a oublié les formules
je n’utilise pas d’instruments
juste le regard
pour repérer une symétrie dans le paysage
mon corps s’annule lui-même
c’est bon signe
je cherche les figures qui s’y cachent
certains angles apparaissent dans les coins
j’en fais une somme compacte
que je projette en n’importe quel point
dont les coordonnées ont quelque chose de poétique
c’est presque amusant
ensuite je réfléchis à l’énoncé d’un problème
que je laisse à ma place
en retournant à mes livres

poésie de Julien BoutreuxSignalez un problèmeDes citations similaires
Ajouté par Doina Maria Tudor
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Le Jambon

Je le vois toujours, ce jambon,
Avec un appétit nouveau.
Fier, il pendait au soliveau
Antique et noir comme un charbon.

Oh ! devait-il être assez bon !
Gros comme une cuisse de veau !
Je le vois toujours, ce jambon.
Avec un appétit nouveau.

Il me hantait pour tout de bon
L’estomac comme le cerveau,
Mais je viens d’en manger. Bravo !
Cette chair est un vrai bonbon.
— Je le vois toujours ce jambon.

poésie de Maurice RollinatSignalez un problèmeDes citations similaires
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Le Petit Chien

Caniche étrange, beau Marquis,
Tes poils frisent comme la mousse,
Un œil noir aux regards exquis
Luit dans ta petite frimousse.

Tout fier de ta toison de lin,
Toujours vif et jamais morose,
Tu vas, tapageur et câlin,
Offrant ton museau noir et rose

Ta prunelle parle et sourit
Aussi fine que peu traîtresse.
Oh ! comme elle est pleine d’esprit
Quand tu regardes ta maîtresse !

Ta joie et ton plus cher désir
C’est, devant un bon feu qui flambe,
De sentir sa main te saisir
Quand tu lui grimpes sur la jambe.

Tu te carres svelte et brillant,
Et tu fais frétiller ta queue
Quand elle te noue en riant
Ta petite cravate bleue.

Si tu la vois lire, broder,
Ou bien faire la couturière,
Tu restes sage sans bouder,
L’œil mi-clos et sur ton derrière.

Dans les chambres et dans la cour
Tu la suis, compagnon fidèle,
Et trottinant quand elle court,
Tu ne t’écartes jamais d’elle.

Quand elle veut quitter son toit,
Tu la guettes avec alarmes,
Et lorsqu’elle s’en va sans toi,
Tu gémis, les yeux pleins de larmes.

Mais si tu n’as plus de gaieté
Loin de celle dont tu raffoles,
Comme son retour est fêté
Par tes milles gambades folles !

Sur la table, à tous les repas,
Devant ton maître peu sévère,
Tu fais ta ronde, à petit pas,
Frôlant tout, sans casser un verre.

L’amour ne te fait pas maigrir
Près d’une chienne langoureuse ;
N’ayant aucun mal pour t’aigrir,
Tu trouve l’existence heureuse.

Ton air mignon et goguenard
T’obtient tout ce qui t’affriande,
Et tu croques un gros canard
Après avoir mangé ta viande.

Rien que la patte d’un poulet
T’amuse pendant des semaines,
Et content d’un joujou si laid,
Dans tous les coins tu le promènes.

Bruyant, lorsqu’on te le permet,
Calme, lorsqu’on te le commande.
Ta turbulence se soumet
Sans qu’on use de réprimande.

Aussi ton maître te sourit
Avec sa gravité si bonne ;
Sa douce femme te chérit.
Et tu fais l’amour de la bonne.

Pour moi, que tu reçois toujours
Avec des yeux si sympathiques,
Je te souhaite de long jours
Et de beaux rêves extatiques.

Cher petit chien pur et charmant,
De l’amitié vivant emblème,
En moi tu flairas un tourment
Dès que tu vis ma face blême.

Tes aboiements qui sont des voix
M’ont crié : « Courage ! Espérance ! »
Et tes caresses m’ont dit : « Vois !
Je m’associe à ta souffrance ! »

Accepte donc ces pauvres vers
Que t’offre un poète malade,
Et parfois, sur tes coussins verts,
Songe à lui comme à ton Pylade.

poésie de Maurice RollinatSignalez un problèmeDes citations similaires
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Frederic Bastiat

L'État, c'est la grande fiction à travers laquelle tout le monde s’efforce de vivre aux dépens de tout le monde.

citation de Frederic Bastiat (1848)Signalez un problèmeDes citations similaires
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Si tu ne sais, Morel, ce que je fais ici

Si tu ne sais, Morel, ce que je fais ici,
Je ne fais pas l'amour ni autre tel ouvrage :
Je courtise mon maître, et si fais davantage,
Ayant de sa maison le principal souci.

Mon Dieu (ce diras-tu), quel miracle est-ce ci,
Que de voir Du Bellay se mêler du ménage
Et composer des vers en un autre langage ?
Les loups et les agneaux s'accordent tout ainsi.

Voilà que c'est, Morel : la douce poésie
M'accompagne partout, sans qu'autre fantaisie
En si plaisant labeur me puisse rendre oisif.

Mais tu me répondras : Donne, si tu es sage,
De bonne heure congé au cheval qui est d'âge,
De peur qu'il ne s'empire et devienne poussif.

poésie de Joachim du BellaySignalez un problèmeDes citations similaires
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Pierre Corneille

Je ne fais rien du tout quand je pense tout faire.

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C'était alors que le présent des dieux

C'était alors que le présent des dieux
Plus doucement s'écoule aux yeux de l'homme,
Faisant noyer dedans l'oubli du somme
Tout le souci du jour laborieux;

Quand un démon apparut à mes yeux
Dessus le bord du grand fleuve de Rome,
Qui, m'appelant du nom dont je me nomme,
Me commanda regarder vers les cieux :

Puis m'écria : Vois, dit-il, et contemple
Tout ce qui est compris sous ce grand temple,
Vois comme tout n'est rien que vanité.

Lors, connaissant la mondaine inconstance,
Puisque Dieu seul au temps fait résistance,
N'espère rien qu'en la divinité.

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