Citations sur Vis UNION ALL SELECT NULL, page 2
Tu vis continuellement une fable et tu ne t’en aperçois pas.
citation de Hugo Pratt
Ajouté par Micheleflowerbomb
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Vis ta vie de la façon que tu aimerais que tes enfants vivent la leur.
citation de Michael Levine
Ajouté par Micheleflowerbomb
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Le Lac et le saule
La solitude est bien l’hôtesse
Qui convient à ce lac profond :
Son saule unique et lui se font
Le vis-à-vis de la tristesse.
Immobiles ou se mouvant
Ils joignent leurs mélancolies,
Par les froidures, sous les pluies,
Dans le soleil et dans le vent.
Ils échangent même en secret
Ce qui les charme ou les distrait.
L’arbre a des oiseaux dans ses branches,
Il les montre au Lac qui, toujours,
À fleur d’eau lui montre à son tour
Ses belles carpes et ses tanches !
poésie de Maurice Rollinat
Ajouté par Poetry Lover
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Le lac et le saule
La solitude est bien l'hôtesse
Qui convient à ce lac profond :
Son saule unique et lui se font
Le vis-à-vis de la tristesse.
Immobiles ou se mouvant
Ils joignent leurs mélancolies,
Par les froidures, sous les pluies,
Dans le soleil et dans le vent.
Ils échangent même en secret
Ce qui les charme ou les distrait.
L'arbre a des oiseaux dans ses branches,
Il les montre au Lac qui, toujours,
A fleur d'eau lui montre à son tour
Ses belles carpes et ses tanches !
poésie de Maurice Rollinat
Ajouté par Poetry Lover
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Les deux bouleaux
L'été, ces deux bouleaux qui se font vis-à-vis,
Avec ce délicat et mystique feuillage
D'un vert si vaporeux sur un si fin branchage,
Ont l'air extasié devant les yeux ravis.
Ceints d'un lierre imitant un grand serpent inerte,
Pommés sur leurs troncs droits, tout lamés d'argent blanc,
Ils charment ce pacage où leur froufrou tremblant
Traîne le bercement de sa musique verte.
Mais, vient l'hiver qui rend par ses déluges froids
La figure du ciel, des rochers et des bois,
Aussi lugubre que la nôtre ;
Morfondus, noirs, alors les bouleaux désolés
Sont deux grands spectres nus, hideux, échevelés,
Pleurant l'un en face de l'autre.
poésie de Maurice Rollinat
Ajouté par Poetry Lover
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J’espère que tu vis une vie dont tu es fier. Si tu ne l’es pas, j’espère que tu as la force de tout recommencer.
citation de Scott Fitzgerald
Ajouté par Micheleflowerbomb
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Évocations
Je vis un gros corbeau, déployant son orgueil,
Qui jouait de la griffe et claquetait des ailes
À terre, avec un bruit de lugubres crécelles.
Et je me dis : « C’est le grand deuil !
Un peu plus loin, je vis, m’épiant d’un coup d’œil,
Une pie occupée à s’aiguiser le bec,
Puis, allant et venant, d’un sautillement sec.
Je me dis : « C’est le demi-deuil ! »
Enfin, d’une couleur plus pâle que les cierges,
Surgit, me sembla-t-il, le prince des hiboux.
Et je dis : « Ce deuil-là, le plus triste de tous,
C’est le deuil pur et blanc des Vierges ! »
Ces trois rencontres successives,
M’arrivant par un soir d’hiver,
Laissaient en cet endroit désert
Ma vue et mon âme pensives,
[...] Read more
poésie de Maurice Rollinat
Ajouté par Poetry Lover
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Vis comme si tu devais mourir demain, apprends comme si tu devais vivre toujours.
citation de Mahatma Gandhi
Ajouté par Micheleflowerbomb
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Quand le ru de la fontaine
Quand le ru de la fontaine
Ŕ la saison s’éclaircit;
Que naît la fleur d’églantier
Et qu’au bois le rossignol
Module, répčte, affine
Sa chanson qu’il veut parfaite,
Je dois reprendre la mienne.
Amour de terre lointaine,
Pour vous j’ai le cśur dolent,
Et n’y puis trouver remčde
Si je n’entends votre appel,
Par attrait de douce union,
En verger ou sous courtine,
Avec l’amie désirée.
Si mon cśur n’en a pouvoir,
Ce n’est merveille qu’il brűle:
Dieu n’a point voulu qu’on vît
Jamais plus belle chrétienne,
[...] Read more
poésie de Jaufre Rudel de Les troubadours (1966), traduction par René Nelli et René Lavaud
Ajouté par Simona Enache
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Je ne
J'ai déjà perdu mon adresse,
J'ai oublié celui d'avant.
Je n'en sais plus de carresse...
Je ne suis plus, ni mari, ni amant.
Je n'ai plus de sentiments;
Je les ai perdu dans l'armée.
Je n'ai plus aucun armement...
Je suis totalement desarmé.
Je suis vide de tout ce que j'aimais,
Je n'ai plus de présent, c'est foutu;
Je vis juste du vide, du jamais...
Je ne sais plus, je n'en sais plus.
Je me cherche jusqu'à la fin de la vue,
Je te cherche, te palper lettres en Braille.
Je t'attends, mon autrui, toi, ma brue...
Je suis nu de moi-même, je me caille!
poésie de Daniel Aurelian Rădulescu (11 novembre 2013)
Ajouté par Daniel Aurelian Rădulescu
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