Tu ne te noies pas en tombant dans l’eau; tu te noies en y restant.
auteur inconnu/anonyme
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Des citations similaires
Lorsque tu sens que tu te noies, ne parle pas d'aide mutuelle.
aphorisme de Valeriu Butulescu, traduction par Genevieve Gomez
Ajouté par Simona Enache
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Si tu te noies, ta mère elle te tue.
Albert Camus dans Le premier homme (2000)
Ajouté par Simona Enache
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Architecte marin
L'épinoche dans son eau crédule
Qui descend jusqu'Ã Notre-Dame
L'épinoche se construit un nid d'algues
Dans l'eau courante de notre cœur
Avec l'aiguille verte de son corps
Il coud les murs de sa maison
Et devient bleu et or et rouge de bonheur
Dévorant des viandes nocturnes
poésie de Yvan Goll de Les Géorgiques Parisiennes (1951)
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Une femme est comme un sachet de thé; tu ne peux pas dire à quel point elle est forte jusqu’à ce que tu la mettes dans l’eau chaude.
citation de Eleanor Roosevelt
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Rêve parisien
À Constantin Guys
I
De ce terrible paysage,
Tel que jamais mortel n'en vit,
Ce matin encore l'image,
Vague et lointaine, me ravit.
Le sommeil est plein de miracles!
Par un caprice singulier
J'avais banni de ces spectacles
Le végétal irrégulier,
Et, peintre fier de mon génie,
Je savourais dans mon tableau
L'enivrante monotonie
Du métal, du marbre et de l'eau.
Babel d'escaliers et d'arcades,
C'était un palais infini
Plein de bassins et de cascades
Tombant dans l'or mat ou bruni;
Et des cataractes pesantes,
Comme des rideaux de cristal
Se suspendaient, éblouissantes,
À des murailles de métal.
Non d'arbres, mais de colonnades
Les étangs dormants s'entouraient
Où de gigantesques naïades,
Comme des femmes, se miraient.
Des nappes d'eau s'épanchaient, bleues,
Entre des quais roses et verts,
Pendant des millions de lieues,
Vers les confins de l'univers:
C'étaient des pierres inouïes
Et des flots magiques, c'étaient
D'immenses glaces éblouies
Par tout ce qu'elles reflétaient!
Insouciants et taciturnes,
Des Ganges, dans le firmament,
Versaient le trésor de leurs urnes
Dans des gouffres de diamant.
Architecte de mes féeries,
Je faisais, à ma volonté,
Sous un tunnel de pierreries
Passer un océan dompté;
Et tout, même la couleur noire,
Semblait fourbi, clair, irisé;
Le liquide enchâssait sa gloire
Dans le rayon cristallisé.
Nul astre d'ailleurs, nuls vestiges
De soleil, même au bas du ciel,
Pour illuminer ces prodiges,
Qui brillaient d'un feu personnel!
Et sur ces mouvantes merveilles
Planait (terrible nouveauté!
Tout pour l'oeil, rien pour les oreilles!)
Un silence d'éternité.
II
En rouvrant mes yeux pleins de flamme
J'ai vu l'horreur de mon taudis,
Et senti, rentrant dans mon âme,
La pointe des soucis maudits;
La pendule aux accents funèbres
Sonnait brutalement midi,
Et le ciel versait des ténèbres
Sur le triste monde engourdi.
poésie de Charles Baudelaire de Les Fleurs du mal
Ajouté par Simona Enache
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Ainsi pense le barman: "Je suis l'apprenti de Jésus-Christ. Il a transformé l'eau en vin et moi le vin en eau".
aphorisme de Valeriu Butulescu, traduction par Genevieve Gomez
Ajouté par Simona Enache
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Apocrypha
Le temps promène ses montres
Habillées en civil.
D'un chien court une langue.
Puis, une semaine passe.
Le clou pénètre dans le mur
Et le seau dans le puits.
Et dans la cuisine pur
Cuire tasses se mûrissent et attentent
Suspendu avec l'eau dans la bouche.
poésie de Emil Brumaru, traduction par Cristina Lila
Ajouté par Cristina Lila
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Il faut
Il faut survivre jusqu'Ã la menace
D'aneantir un jour, certain non ferier,
Porté, non plus s'est où... quel degueulasse?
Pourquoi, pourquoi on se ment, pour espèrer?
Il faut revivre tout ce qui s'est passé,
Pour te reprendre poussière perdue
Dans un vivant de faits, des jours cassés...
Pour en pouvoir tenir ta unique rue?
Il faut reprendre goùt de balader
Les lieux d'une fois, une fois, aux pieds tous nus,
Pouvoir ainsi du temps se l'exploser?!...
A quoi ça sert futur non prevenu?
Il faut quitter l'amour avant la fin,
Pour retenir suspense de son désastre?
Je ne sais pas; la vie est sans refrain
Pour le reprendre, un jour, après son astre?
Il faut qu'on sent ainsi tant de souffrance
Juste pour savoir qu'existe du bonneheur
Et qu'on apprend si peu de l'importance
Seulement après qu'on a vecu autant d'erreurs?
Il faut qu'on croit au faible mutilé,
Qui cherche a dire restant de son intègre,
Le regardant pour temps s'est vu passer,
D'un âme... qu'on garde caché, dans son tenebre!?
poésie de Daniel Aurelian Rădulescu (15 mai 2013)
Ajouté par Daniel Aurelian Rădulescu
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L'Habitude
La goutte d’eau de l’Habitude
Corrode notre liberté
Et met sur notre volonté
La rouille de la servitude.
Elle infiltre une quiétude
Pleine d’incuriosité :
La goutte d’eau de l’Habitude
Corrode notre liberté.
Qui donc fertilise l’étude
Et fait croupir l’oisiveté ?
Qui donc endort l’adversité
Et moisit la béatitude ?
La goutte d’eau de l’Habitude !
poésie de Maurice Rollinat
Ajouté par Poetry Lover
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Le Roi des buveurs
Tenez ! fit le soulard à bonnet de coton,
Allumant ses yeux ronds dans sa figure en poire,
J’ai connu plus buveur que moi. Voilà l’histoire
De celui qu’on app’lait l’maître ivrogn’ du canton :
« Puisque ma femme est mort’, moi j’suis, dit l’pèr’ Baraille,
Excusab’ en bonn’ vérité,
Si, c’te malheureus’ fois, encor ben plus j’déraille
D’la lign’ de la sobriété ! »
On change la défunte ? i’ va boire ! — on la veille ?
D’temps en temps i’ s’en vers’ deux doigts.
L’cercueil arrive et l’trouve à sucer la bouteille :
Pendant l’ensev’lis’ment ? i’ boit !
Dans l’chemin, à l’église, et jusque dans l’cimetière,
I’ tèt’ sa fiol’ d’eau-d’-vie ! Enfin, v’là donc q’la bière
Est ben douc’ment glissée où doit descend’ chacun :
L’ivrog’ gémit, et comm’ le fossoyeur qui s’gausse
Lui dit : « Tant d’regrets q’ça ? fourrez-vous dans sa fosse !
Ça m’coût’ pas plus d’en couvrir deux q’d’en couvrir un ! »
Lui, répond, grimacier, larmochant rigolo :
« Non ! après tout, j’veux viv’ pour la pleurer... j’préfère !
Et j’vous jur’ que mes larm’ ça s’ra ben la seule eau
Que j’mettrai jamais dans mon verre !
poésie de Maurice Rollinat
Ajouté par Poetry Lover
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Les Grands Linges
Le magique soleil sur les hauteurs pensives
Fait luire et triompher tous ces grands linges blancs
Qui, chevauchant leur corde au sortir des lessives,
Y sèchent, tour à tour inertes et tremblants.
Ils apparaissent purs, ardents, frais et joyeux,
Au loin, flottant rappel des gloires printanières,
Bleutés, rosés, baignés d’azur et de lumière,
Fêtant le paysage, ébouissant les yeux.
Mais le soir, c’est l’horreur suprême ! car, alors
On dirait invisible un long troupeau de morts,
Spectres rampants enfouis dans leurs grands draps funèbres.
Pendant que tout noircit, — là ! restant blancs eux seuls,
Ces linges ne sont plus qu’un rideau de linceuls !
Barrant l’horizon vague où montent les ténèbres.
poésie de Maurice Rollinat
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Comme le champ semé en verdure foisonne
Comme le champ semé en verdure foisonne,
De verdure se hausse en tuyau verdissant,
Du tuyau se hérisse en épi florissant,
D'épi jaunit en grain, que le chaud assaisonne :
Et comme en la saison le rustique moissonne
Les ondoyants cheveux du sillon blondissant,
Les met d'ordre en javelle, et du blé jaunissant
Sur le champ dépouillé mille gerbes façonne :
Ainsi de peu à peu crût l'empire romain,
Tant qu'il fut dépouillé par la barbare main,
Qui ne laissa de lui que ces marques antiques
Que chacun va pillant : connue on voit le glaneur
Cheminant pas à pas recueillir les reliques
De ce qui va tombant après le moissonneur.
poésie de Joachim du Bellay
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Le vieux pêcheur
Au fil de l'eau coulant sans bruit,
Triste et beau comme un vieux monarque,
Perche en main, débout dans sa barque,
Le pêcheur aspirait la nuit.
Son extase mal contenue
Rivait, pleins de larmes, ses yeux
Au grand miroir mystérieux
Où tremblait l'ombre de la nue.
L'astre pur, Ã frissons follets,
Jetait prodigue ses reflets
A cette transparence brune ;
J'entendis l'homme chuchoter :
' C'te nuit ! fait-i' bon d'exister !
Pour voir l'eau s'ens'mencer d'la lune. '
poésie de Maurice Rollinat
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L'Étang du mauvais pas
Fuis l’étang du mauvais pas,
Crains l’ogre qu’on y soupçonne,
Gare au monstre du trépas !
On dit qu’il fit ses repas
Maintes fois d’une personne...
Fuis l’étang du mauvais pas !
Crois-moi ! tiens ! entends ce glas !
C’est comme un avis qui sonne.
Gare au monstre du trépas !
Mais, incrédule est le gars.
Il part, sa chanson résonne...
Fuis l’étang du mauvais pas !
Bah ! il n’en fait aucun cas,
Cette vieille déraisonne.
Gare au monstre du trépas
S’allonger la nuit ? non pas.
Pour lui toute route est bonne...
Fuis l’étang du mauvais pas !
Allons donc ! les pays plats ?
C’est sûr ! et rien ne l’étonne.
Gare au monstre du trépas !
Sa marche ouvre son compas
Tranquille. Pourtant, il tonne...
Fuis l’étang du mauvais pas !
Le vent claque lourd, au ras
Du feuillage qui moutonne.
Gare au monstre du trépas !
D’accent triste, à soupirs las,
Une voix longue marmonne :
Fuis l’étang du mauvais pas !
Voici les joncs scélérats
Encadrant l’eau qui charbonne.
Gare au monstre du trépas !
L’homme dans leur louche amas
S’engage, sans qu’il frissonne.
Fuis l’étang, du mauvais pas !
La nuit fonce encor ses draps,
Éclairs, brouillards, l’environnent.
Gare au monstre du trépas !
Lui, calme, au croulant fracas,
Garde son humeur luronne.
Fuis l’étang du mauvais pas !
Soudain, de l’eau sort un bras,
Puis, une main le harponne...
Gare au monstre du trépas !
Ô le plus noir des combats !
Il reparaît, replongeonne...
Fuis l’étang du mauvais pas !
Il descend toujours plus bas
Sous l’onde qui tourbillonne...
Gare au monstre du trépas !
Et, lent, dans les roseaux gras,
L’ogre assassin le mâchonne.
Fuis l’étang du mauvais pas !
Telle s’accomplit, hélas !
La légende berrichonne.
Fuis l’étang du mauvais pas,
Gare au monstre du trépas !
poésie de Maurice Rollinat
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L'étang du mauvais pas
Fuis l'étang du mauvais pas,
Crains l'ogre qu'on y soupçonne,
Gare au monstre du trépas !
On dit qu'il fit ses repas
Maintes fois d'une personne...
Fuis l'étang du mauvais pas !
Crois-moi ! tiens ! entends ce glas !
C'est comme un avis qui sonne.
Gare au monstre du trépas !
Mais, incrédule est le gars.
Il part, sa chanson résonne...
Fuis l'étang du mauvais pas !
Bah ! il n'en fait aucun cas,
Cette vieille déraisonne.
Gare au monstre du trépas
S'allonger la nuit ? non pas.
Pour lui toute route est bonne...
Fuis l'étang du mauvais pas !
Allons donc ! les pays plats ?
C'est sûr ! et rien ne l'étonne.
Gare au monstre du trépas !
Sa marche ouvre son compas
Tranquille. Pourtant, il tonne...
Fuis l'étang du mauvais pas !
Le vent claque lourd, au ras
Du feuillage qui moutonne.
Gare au monstre du trépas !
D'accent triste, Ã soupirs las,
Une voix longue marmonne :
Fuis l'étang du mauvais pas !
Voici les joncs scélérats
Encadrant l'eau qui charbonne.
Gare au monstre du trépas !
L'homme dans leur louche amas
S'engage, sans qu'il frissonne.
Fuis l'étang, du mauvais pas !
La nuit fonce encor ses draps,
Eclairs, brouillards, l'environnent.
Gare au monstre du trépas !
Lui, calme, au croulant fracas,
Garde son humeur luronne.
Fuis l'étang du mauvais pas !
Soudain, de l'eau sort un bras,
Puis, une main le harponne...
Gare au monstre du trépas !
Ô le plus noir des combats !
Il reparaît, replongeonne...
Fuis l'étang du mauvais pas !
Il descend toujours plus bas
Sous l'onde qui tourbillonne...
Gare au monstre du trépas !
Et, lent, dans les roseaux gras,
L'ogre assassin le mâchonne.
Fuis l'étang du mauvais pas !
Telle s'accomplit, hélas !
La légende berrichonne.
Fuis l'étang du mauvais pas,
Gare au monstre du trépas !
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Toute l'eau de la mer ne suffirait pas à laver une tache de sang intellectuelle.
Contele de Lautreamont dans Poésies, I (1870)
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Quand l'eau est trop claire, il n'y a pas de poissons ; quand l'homme est trop exigeant, il n'a pas d'amis.
proverbs mongols
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Le centenaire
Près du laboureur poitrinaire,
Devant sa porte, au jour tombant,
Est venu s'asseoir sur son banc
Le patriarche centenaire.
Et, comme le gars se désole,
Dit qu'on va bientôt l'enterrer,
L'ancêtre, pour le rassurer,
Lui répond : ' T'es jeun', ça m'console.
Ton temps est pas v'nu d'dire adieu
A tout' les bell' choses de la vie.
L'soleil, l'air, te r'mettront ; j'me fie
A ces grands méd'cins du bon Dieu.
L'hiver, l'arbre est en maladie,
I' n'a plus d'oiseaux ni d'couleurs,
Mais, i' r'prend ses musiq', ses fleurs :
C'n'est que d'la nature engourdie.
Et puis, pour les tiens, d'si brav' gens,
Qui sont pas avancés d'argent,
Faut q'tu viv' ! t'es utile encor.
Tandis q'moi, tant d'âg' me suffit.
Maint'nant, plus à charg' qu'à profit,
J'suis assez vieux pour faire un mort ! '
poésie de Maurice Rollinat
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Le Centenaire
Près du laboureur poitrinaire,
Devant sa porte, au jour tombant,
Est venu s’asseoir sur son banc
Le patriarche centenaire.
Et, comme le gars se désole,
Dit qu’on va bientôt l’enterrer,
L’ancêtre, pour le rassurer,
Lui répond : « T’es jeun’, ça m’ console.
Ton temps est pas v’nu d’ dire adieu
À tout’ les bell’ choses de la vie.
L’ soleil, l’air, te r’mettront ; j’ me fie
À ces grands méd’cins du bon Dieu.
L’hiver, l’arbre est en maladie,
I’ n’a plus d’oiseaux ni d’ couleurs,
Mais, i’ r’prend ses musiq’, ses fleurs :
C’ n’est que d’ la nature engourdie.
Et puis, pour les tiens, d’ si brav’ gens,
Qui sont pas avancés d’argent,
Faut q’ tu viv’ ! t’ es utile encor.
Tandis q’ moi, tant d’âg’ me suffit.
Maint’nant, plus à charg’ qu’à profit,
J’ suis assez vieux pour faire un mort !
poésie de Maurice Rollinat
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Le Pêcheur à la ligne
Mon liège fait plus d’un plongeon
Dans l’onde au lit de sable fin.
Ça mord à tout coup ; mais enfin
Je n’ai pas pris un seul goujon.
Et je tiens ma perche de jonc,
Patient comme un séraphin.
Mon liège fait plus d’un plongeon
Dans l’onde au lit de sable fin ;
Derrière moi, le vieux donjon ;
Devant, un horizon sans fin.
Un brochet dort comme un dauphin
A fleur d’eau, près d’un sauvageon.
Mon liège fait plus d’un plongeon.
poésie de Maurice Rollinat
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