Je suis malade
Je ne rêve plus je ne fume plus
Je n'ai même plus d'histoire
Je suis sale sans toi
Je suis laide sans toi
Je suis comme un orphelin dans un dortoir
Je n'ai plus envie de vivre dans ma vie
Ma vie cesse quand tu pars
Je n'aie plus de vie et même mon lit
Ce transforme en quai de gare
Quand tu t'en vas
Je suis malade
Complètement malade
Comme quand ma mère sortait le soir
Et qu'elle me laissait seul avec mon désespoir
Je suis malade parfaitement malade
T'arrive on ne sait jamais quand
Tu repars on ne sait jamais où
Et ça va faire bientôt deux ans
Que tu t'en fous
Comme à un rocher
Comme à un péché
Je suis accroché à toi
Je suis fatigué je suis épuisé
De faire semblant d'être heureuse quand ils sont là
Je bois toutes les nuits
Mais tous les whiskies
Pour moi on le même goût
Et tous les bateaux portent ton drapeau
Je ne sais plus où aller tu es partout
Je suis malade
Complètement malade
Je verse mon sang dans ton corps
Et je suis comme un oiseau mort quand toi tu dors
Je suis malade
Parfaitement malade
Tu m'as privé de tous mes chants
Tu m'as vidé de tous mes mots
Pourtant moi j'avais du talent avant ta peau
Cet amour me tue
Si ça continue je crèverai seul avec moi
Près de ma radio comme un gosse idiot
Écoutant ma propre voix qui chantera
Je suis malade
Complètement malade
Comme quand ma mère sortait le soir
Et qu'elle me laissait seul avec mon désespoir
Je suis malade
C'est ça je suis malade
Tu m'as privé de tous mes chants
Tu m'as vidé de tous mes mots
Et j'ai le coeur complètement malade
Cerné de barricades
T'entends je suis malade.
chanson interprété par Dalida
Ajouté par Simona Enache
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Des citations similaires

Je ne suis pas un intellectuel, un cerveau. Je suis un sot. Je suis né comme ça. En revanche je sais voir, entendre et bouger très vite. Quand j'étais petit je pouvais attraper les souris à la main. La plupart des chorégraphes d'aujourd'hui sont des intellectuels. Ils s'inspirent de Freud, de Jung, de Kierkegaard. Moi je suis moi-même. J'essaie de trouver des équivalences à mes sentiments, à mes sensations mais tout cela est inexplicable. On ne peut trouver que des comparaisons.
citation de George Balanchine
Ajouté par Simona Enache
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Je ne
J'ai déjà perdu mon adresse,
J'ai oublié celui d'avant.
Je n'en sais plus de carresse...
Je ne suis plus, ni mari, ni amant.
Je n'ai plus de sentiments;
Je les ai perdu dans l'armée.
Je n'ai plus aucun armement...
Je suis totalement desarmé.
Je suis vide de tout ce que j'aimais,
Je n'ai plus de présent, c'est foutu;
Je vis juste du vide, du jamais...
Je ne sais plus, je n'en sais plus.
Je me cherche jusqu'à la fin de la vue,
Je te cherche, te palper lettres en Braille.
Je t'attends, mon autrui, toi, ma brue...
Je suis nu de moi-même, je me caille!
poésie de Daniel Aurelian Rădulescu (11 novembre 2013)
Ajouté par Daniel Aurelian Rădulescu
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Quand je t'aime
Quand je t'aime
J'ai l'impression d'être un roi
Un chevalier d'autrefois
Le seul homme sur la terre
Quand je t'aime
J'ai l'impression d'être à toi
Comme la rivière au delta
Prisonnier volontaire
Refrain:
Quand je t'aime
Tous mes gestes me ramènent
A tes lèvres ou à tes bras
A l'amour avec toi
Quand je t'aime
Il est minuit ou midi
En enfer au paradis
N'importe où mais ensemble
Quand je t'aime
Je ne sais plus si je suis
Un mendiant ou un messie
Mais nos rêves se ressemblent
Au refrain:
Quand je t'aime
J'ai des fleurs au bout des doigts
Et le ciel que je te dois
Est un ciel sans étoile
Quand je t'aime
J'ai la fièvre dans le sang
Et ce plaisir innocent
Me fait peur, me fait mal
Au refrain:
Quand je t'aime
J'ai l'impression d'être un roi
Un chevalier d'autrefois
Le seul homme sur la terre
Quand je t'aime
J'ai l'impression d'être à toi
Comme la rivière au delta
Prisonnier volontaire
Quand je t'aime
Il est minuit ou midi
En enfer au paradis
N'importe où mais ensemble
Quand je t'aime
Je ne sais plus si je suis
Un mendiant ou un messie
Mais nos rêves se ressemblent
Quand je t'aime.
chanson interprété par Demis Roussos
Ajouté par Simona Enache
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Le Petit Chien
Caniche étrange, beau Marquis,
Tes poils frisent comme la mousse,
Un œil noir aux regards exquis
Luit dans ta petite frimousse.
Tout fier de ta toison de lin,
Toujours vif et jamais morose,
Tu vas, tapageur et câlin,
Offrant ton museau noir et rose
Ta prunelle parle et sourit
Aussi fine que peu traîtresse.
Oh ! comme elle est pleine d’esprit
Quand tu regardes ta maîtresse !
Ta joie et ton plus cher désir
C’est, devant un bon feu qui flambe,
De sentir sa main te saisir
Quand tu lui grimpes sur la jambe.
Tu te carres svelte et brillant,
Et tu fais frétiller ta queue
Quand elle te noue en riant
Ta petite cravate bleue.
Si tu la vois lire, broder,
Ou bien faire la couturière,
Tu restes sage sans bouder,
L’œil mi-clos et sur ton derrière.
Dans les chambres et dans la cour
Tu la suis, compagnon fidèle,
Et trottinant quand elle court,
Tu ne t’écartes jamais d’elle.
Quand elle veut quitter son toit,
Tu la guettes avec alarmes,
Et lorsqu’elle s’en va sans toi,
Tu gémis, les yeux pleins de larmes.
Mais si tu n’as plus de gaieté
Loin de celle dont tu raffoles,
Comme son retour est fêté
Par tes milles gambades folles !
Sur la table, à tous les repas,
Devant ton maître peu sévère,
Tu fais ta ronde, à petit pas,
Frôlant tout, sans casser un verre.
L’amour ne te fait pas maigrir
Près d’une chienne langoureuse ;
N’ayant aucun mal pour t’aigrir,
Tu trouve l’existence heureuse.
Ton air mignon et goguenard
T’obtient tout ce qui t’affriande,
Et tu croques un gros canard
Après avoir mangé ta viande.
Rien que la patte d’un poulet
T’amuse pendant des semaines,
Et content d’un joujou si laid,
Dans tous les coins tu le promènes.
Bruyant, lorsqu’on te le permet,
Calme, lorsqu’on te le commande.
Ta turbulence se soumet
Sans qu’on use de réprimande.
Aussi ton maître te sourit
Avec sa gravité si bonne ;
Sa douce femme te chérit.
Et tu fais l’amour de la bonne.
Pour moi, que tu reçois toujours
Avec des yeux si sympathiques,
Je te souhaite de long jours
Et de beaux rêves extatiques.
Cher petit chien pur et charmant,
De l’amitié vivant emblème,
En moi tu flairas un tourment
Dès que tu vis ma face blême.
Tes aboiements qui sont des voix
M’ont crié : « Courage ! Espérance ! »
Et tes caresses m’ont dit : « Vois !
Je m’associe à ta souffrance ! »
Accepte donc ces pauvres vers
Que t’offre un poète malade,
Et parfois, sur tes coussins verts,
Songe à lui comme à ton Pylade.
poésie de Maurice Rollinat
Ajouté par Poetry Lover
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La Ressusciteuse
Je dis à la bergère : « Où donc est ta bessonne !
Oh ! mais, comme tu lui ressembles ! »
La fille soupira : « Ma sœur est mort’ ! personne
N’nous verra plus jamais ensemble.
C’est vrai que j’suis son doub’, son r’venant q’l’on dirait,
Celui-là qui me r’gard’ la voit.
De visag’, de parler, d’taill’, j’suis tout son portrait :
J’suis elle, comme elle était moi.
Je m’la ressuscit’ ben souvent.
J’prends tout c’quell’ portait d’son vivant,
À sa façon, j’m’en habill’ telle,
Et puis, d’vant un’ glac’, pour tout d’bon,
J’y cause… et, lorsque j’y réponds,
Je me figure que c’est elle !
poésie de Maurice Rollinat
Ajouté par Poetry Lover
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Toinette: Tenez, monsieur, quand il n'y aurait que votre barbe, c'est déjà beaucoup ; et la barbe fait plus de la moitié d'un médecin.
réplique de Le Malade imaginaire, scénario de Molière (1673)
Ajouté par Dan Costinaş
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Le Soleil
Le Soleil, ami du serpent
Et couveur de la pourriture,
Est le brasier que la Nature
Tous les jours allume et suspend.
Le malade, clopin-clopant,
Va chercher, quand il s’aventure,
Le Soleil ami du serpent
Et couveur de la pourriture.
L’enveloppé, l’enveloppant,
Tout subit sa grande friture ;
Et jusque dans la sépulture,
Il s’inocule et se répand,
Le Soleil, ami du serpent.
poésie de Maurice Rollinat
Ajouté par Poetry Lover
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Tout bien portant est un malade qui s'ignore.
citation de Jules Romains
Ajouté par Micheleflowerbomb
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La Réprouvée
Quelle était donc, ainsi, tout de noir recouverte,
Cette femme, là-bas, d’un si lugubre effet,
En me croisant, m’ayant laissé voir qu’elle avait
Le crâne dans du linge et la figure verte ?...
Mais, verte ! de ce vert végétal, cru, blanc jaune,
Comme un gros masque d’herbe et de feuilles de chou !
Elle avait passé là, d’un pied de caoutchouc,
Sans bruit, avec un air de chercheuse d’aumône.
Je la suivais des yeux, je la suivis des pas ;
Et, quand je fus près d’elle, en tremblant, presque bas,
Dans le son de ma voix mettant toute mon âme ;
« Mais qui donc êtes-vous, lui dis-je, pauvre femme ? »
Alors, parlant de dos, elle me répondit :
« C’que j’suis ? Vous n’savez pas ? eh ben ! j’suis l’êtr’ maudit !
Oh ! l’plus misérable et l’plus triste
Comm’ le plus inr’gardab’ q’existe !
N’ayant rien qu’à s’montrer pour fair’ le désert ;
J’suis la femm’ dont, au moins depuis vingt ans, l’cancer
A mangé p’tit à p’tit la fac’, comme un’ lent’ bête ;
Celle qui traîne après ell’ du dégoût et d’l’effroi,
À qui, s’renfermant vit’, les gens de son endroit
Donn’ du pain en r’tournant la tête !
poésie de Maurice Rollinat
Ajouté par Poetry Lover
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Je pourrais transcrire ici la lettre de Mme Glatigny. Mais est-il besoin de nouveaux témoignages pour montrer au vif l'âme de cette généreuse créature ? Malade, elle se fit guérisseuse. Son amour alla droit au poète souffrant, pour cela même qu'il était poète et qu'il se mourait.
Anatole France dans Le Génie latin (1913)
Ajouté par Dan Costinaş
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Personne ne se rend compte que l'aigle est boiteux. La patte malade se cache sous la grandeur des ailes.
aphorisme de Valeriu Butulescu, traduction par Genevieve Gomez
Ajouté par Simona Enache
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Je suis chez moi, je suis arrivé. Il n'y a qu'ici et maintenant. Bien solide, vraiment libre, je prends refuge en moi-même.
citation de Thich Nhat Hanh
Ajouté par Micheleflowerbomb
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Ballade pour prier Notre Dame
Dame du ciel, régente terrienne,
Emperière des infernaux palus,
Recevez-moi, votre humble chrétienne,
Que comprise soie entre vos élus,
Ce nonobstant qu'oncques rien ne valus.
Les biens de vous, ma Dame et ma Maîtresse
Sont bien plus grands que ne suis pécheresse,
Sans lesquels biens âme ne peut mérir
N'avoir les cieux. Je n'en suis jangleresse:
En cette foi je veuil vivre et mourir.
A votre Fils dites que je suis sienne;
De lui soient mes péchés abolus;
Pardonne moi comme à l'Egyptienne,
Ou comme il fit au clerc Theophilus,
Lequel par vous fut quitte et absolus,
Combien qu'il eût au diable fait promesse
Préservez-moi de faire jamais ce,
Vierge portant, sans rompure encourir,
Le sacrement qu'on célèbre à la messe:
En cette foi je veuil vivre et mourir.
Femme je suis pauvrette et ancienne,
Qui riens ne sais; oncques lettres ne lus.
Au moutier vois, dont suis paroissienne,
Paradis peint, où sont harpes et luths,
Et un enfer où damnés sont boullus:
L'un me fait peur, l'autre joie et liesse.
La joie avoir me fais, haute Déesse,
A qui pécheurs doivent tous recourir,
Comblés de foi, sans feinte ne paresse:
En cette foi je veuil vivre et mourir.
Vous portâtes, digne Vierge, princesse,
Iésus régnant qui n'a ni fin ni cesse.
Le Tout-Puissant, prenant notre faiblesse,
Laissa les cieux et nous vint secourir,
Offrit à mort sa très chère jeunesse;
Notre Seigneur tel est, tel le confesse:
En cette foi je veuil vivre et mourir.
poésie de Francois Villon
Ajouté par Simona Enache
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Le Mauvais Œil
Le mauvais œil me persécute :
Un œil où le blâme reluit,
Où la haine se répercute,
Fixe et vitreux comme celui
Du condamné qu’on exécute.
Sans que jamais il se rebute,
Il me précède ou me poursuit,
Où que j’aille, où que mon pied bute,
Le mauvais œil !
Et je suis tellement en butte
À cet œil jaune qui me nuit
Que je le vois même la nuit ;
Et dompteur dont je suis la brute,
Dans l’ombre il me vrille et me scrute,
Le mauvais œil !
poésie de Maurice Rollinat
Ajouté par Poetry Lover
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Quand je te dis adieu, pour m'en venir ici
Quand je te dis adieu, pour m'en venir ici,
Tu me dis, mon La Haye, il m'en souvient encore :
Souvienne-toi, Bellay, de ce que tu es ore,
Et comme tu t'en vas, retourne-t'en ainsi.
Et tel comme je vins, je m'en retourne aussi :
Hormis un repentir qui le coeur me dévore,
Qui me ride le front, qui mon chef décolore,
Et qui me fait plus bas enfoncer le sourcil.
Ce triste repentir, qui me ronge et me lime,
Ne vient (car j'en suis net) pour sentir quelque crime,
Mais pour m'être trois ans à ce bord arrêté :
Et pour m'être abusé d'une ingrate espérance,
Qui pour venir ici trouver la pauvreté,
M'a fait (sot que je suis) abandonner la France
poésie de Joachim du Bellay
Ajouté par Poetry Lover
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Ballade du concours de Blois
Je meurs de seuf auprès de la fontaine,
Chaud comme feu, et tremble dent à dent;
En mon pays suis en terre lointaine;
Lez un brasier frissonne tout ardent;
Nu comme un ver, vêtu en président,
Je ris en pleurs et attends sans espoir;
Confort reprends en triste désespoir;
Je m'éjouis et n'ai plaisir aucun;
Puissant je suis sans force et sans pouvoir,
Bien recueilli, débouté de chacun.
Rien ne m'est sûr que la chose incertaine;
Obscur, fors ce qui est tout évident;
Doute ne fais, fors en chose certaine;
Science tiens à soudain accident;
Je gagne tout et demeure perdant;
Au point du jour dis: "Dieu vous doint bon soir!"
Gisant envers, j'ai grand paour de choir;
J'ai bien de quoi et si n'en ai pas un;
Echoite attends et d'homme ne suis hoir,
Bien recueilli, débouté de chacun.
De rien n'ai soin, si mets toute ma peine
D'acquérir biens et n'y suis prétendant;
Qui mieux me dit, c'est cil qui plus m'ataine,
Et qui plus vrai, lors plus me va bourdant;
Mon ami est, qui me fait entendant
D'un cygne blanc que c'est un corbeau noir;
Et qui me nuit, crois qu'il m'aide à pourvoir;
Bourde, verté, aujourd'hui m'est tout un;
Je retiens tout, rien ne sait concevoir,
Bien recueilli, débouté de chacun.
Prince clément, or vous plaise savoir
Que j'entends mout et n'ai sens ne savoir:
Partial suis, à toutes lois commun.
Que sais-je plus? Quoi? Les gages ravoir,
Bien recueilli, débouté de chacun.
poésie de Francois Villon
Ajouté par Simona Enache
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Le mal de toi
Y a plus de soleil
Quand j´me réveille,
Matin chagrin
Quand j´ai le mal de toi.
Cassé la nuit,
Le jour ausi.
Plus faim, pas bien
Quand j´ai le mal de toi
Mais quand j´ai le mal de toi,
Je raconte n´importe quoi:
Que tu n´me manques pas,
Que j´t´attends pas,
Que j´ai des ailes,
Une vie nouvelle.
Sourire devant,
Souffrir dedans.
J´peux mentir comme ça
Quand j´ai le mal de toi.
Ton pull sur moi
Me donne moins froid,
Parfum qui r´vient
Quand j´ai le mal de toi.
T´écrire une lettre,
Partir peut-être.
Mourir, c´est rien
Quand j´ai le mal de toi.
Mais quand j´ai le mal de toi,
Je raconte n´importe quoi:
Que tu n´me manques pas,
Que j´t´attends pas,
Que j´ai des ailes,
Une vie nouvelle.
Sourire devant,
Souffrir dedans.
J´peux mentir comme ça
Quand j´ai le mal de toi
Et puis l´espoir, j´suis sûr de t´voir,
Demain, ce soir ou bien plus tard.
Je n´veux plus croire qu´on nous sépare
Quand j´ai le mal de toi.
Ça y est t´es là, j´entends ta voix.
J´ai l´cœur qui bat, tu cours vers moi.
T´es dans mes bras... J´délire comme ça
Quand j´ai le mal de toi.
Mais quand j´ai le mal de toi,
Je raconte n´importe quoi:
Que tu n´me manques pas,
Que j´t´attends pas,
Que j´ai des ailes,
Une vie nouvelle.
Sourire devant,
Souffrir dedans.
J´peux mentir comme ça
Quand j´ai le mal de toi.
chanson interprété par Francois Feldman
Ajouté par Simona Enache
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Jeu...
Pourquoi je serais La Femme de trente ans
Pleine de Tristesse, dans ma petite âme
Toujours sentir Le Fleur de Mal,
dans une Méditation Sentimentale.
Je pourrais donc toujours voir
Le Lac quand est L’automne et Le soir
Site lamartinien comme Le Vallon
En vie Désespoir et grand L’Isolement .
Pressée de trouver le lieu et la formule
Comme Rimbaud sans désinvolture
Je suis un autre au Soleil
Quand d’Illumination je me réveille.
J’écoute le Sonnet des voyelles,.
Je vois les Calligrames d’Apollinaire
Puis Zone, un cadre eternel.
Quand je voudrais d’être la reine de Lancelot,
Comme Anne de Bretagne d’ écrivain Marot…
Je désirais le monde mirifique de Jules Verne
de Rimbaud , Mallarmé et puis Verlaine
Le désespoir de Mallarmé
Mon petit cœur il a touché.
Je veux une promenade divine
Dans l’Automne d’Alfred Lamartine.
Dans les Nuits de mai, d’octobre de Musset
Pour écouter quelque Sonnet.
J’ ai lu Cinq-Mars d’Alfred de Vigny
Pour voir Le Mont des Oliviers fleuri,
Quand Les Caprices de Marianne j’ai connus
J ai constaté que tout n est pas perdu…
poésie de Cornelia Păun Heinzel (1 juin 2013)
Ajouté par Cornelia Păun Heinzel
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C'est ores, mon Vineus, mon cher Vineus, c'est ore
C'est ores, mon Vineus, mon cher Vineus, c'est ore,
Que de tous les chétifs le plus chétif je suis,
Et que ce que j'étais, plus être je ne puis,
Ayant perdu mon temps, et ma jeunesse encore.
La pauvreté me suit, le souci me dévore,
Tristes me sont les jours, et plus tristes les nuits.
O que je suis comblé de regrets et d'ennuis !
Plût à Dieu que je fusse un Pasquin ou Marphore,
Je n'aurais sentiment du malheur qui me point :
Ma plume serait libre et si ne craindrais point
Qu'un plus grand contre moi pût exercer son ire.
Assure-toi, Vineus, que celui seul est roi
A qui même les rois ne peuvent donner loi,
Et qui peut d'un chacun à son plaisir écrire.
poésie de Joachim du Bellay
Ajouté par Poetry Lover
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Je ne suis pas fâché que tu m’ais menti. Je suis seulement contrarié qu’à partir de maintenant, je ne puisse plus te faire confiance.
citation de Friedrich Nietzche
Ajouté par Micheleflowerbomb
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