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Valeriu Butulescu

Original, comme un perroquet en premiére audition.

aphorisme de Valeriu Butulescu, traduction par Genevieve GomezSignalez un problèmeDes citations similaires
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Vauvenargues

Un livre bien neuf et bien original serait celui qui ferait aimer de vieilles vérités.

Vauvenargues dans Réflexions et maximes (1746)Signalez un problèmeDes citations similaires
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Chateaubriand

L'écrivain original n'est pas celui qui n'imite personne, mais celui que personne ne peut imiter.

Chateaubriand dans Le Génie du christianisme (1802)Signalez un problèmeDes citations similaires
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Aristote

La première qualité du style, c'est la clarté.

citation de AristoteSignalez un problèmeDes citations similaires
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Il n'y a que la première bouteille qui soit chère.

proverbes danoisSignalez un problèmeDes citations similaires
Ajouté par Micheleflowerbomb
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La première heure du matin est le gouvernail de la journée toute entière.

citation de Henry WardSignalez un problèmeDes citations similaires
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Mata Hari

C'est bien la première fois qu'on m'aura pour douze balles.

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À la jeune pintade

Je te mets en capilotade
Si je te prends à batailler :
Assez longtemps le poulailler
A souffert ta rodomontade.

Je t’en préviens, jeune pintade,
Comme un bourreau, sans sourciller.
Je te mets en capilotade
Si je te prends à batailler.

Je te passe encor la boutade
Et ta façon de piailler
Qui m’empêche de travailler ;
Mais, à la première incartade,
Je te mets en capilotade !

poésie de Maurice RollinatSignalez un problèmeDes citations similaires
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Albert Einstein

L'homme et sa sécurité doivent constituer la première préoccupation de toute aventure technologique.

citation de Albert EinsteinSignalez un problèmeDes citations similaires
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Octav Bibere

Il serait normal que la prochaine pandémie soit réservée uniquement à ceux qui n'ont rien compris à la première .

citation de Octav BibereSignalez un problèmeDes citations similaires
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Salvador Dali

Ce soir, pour la première fois depuis au moins un an, je regarde le ciel étoilé. Je le trouve petit.

Salvador Dali dans Journal d'un génieSignalez un problèmeDes citations similaires
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Salvador Dali

Lorsque les trains déraillent, ce qui me fait de la peine, ce sont les morts de première classe.

citation de Salvador DaliSignalez un problèmeDes citations similaires
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Octav Bibere

L'amour est le pouvoir qui organise l'Univers autour de la beauté. Le reste n'est que la matière première pour le Créateur !

citation de Octav BibereSignalez un problèmeDes citations similaires
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La première raison de la servitude volontaire, c’est l’habitude.

Etienne de La Boetie dans Discours de la servitude volontaireSignalez un problèmeDes citations similaires
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La Complaînte du désespéré

Qui prêtera la parole
A la douleur qui m'affole ?
Qui donnera les accents
A la plainte qui me guide :
Et qui lâchera la bride
A la fureur que je sens ?

Qui baillera double force
A mon âme, qui s'efforce
De soupirer mes douleurs ?
Et qui fera sur ma face
D'une larmoyante trace
Couler deux ruisseaux de pleurs ?...

Et vous mes vers, dont la course
A de sa première source
Les sentiers abandonnés,
Fuyez à bride avalée.
Et la prochaine vallée
De votre bruit étonnez.

Votre eau, qui fut claire et lente,
Ores trouble et violente,
Semblable à ma douleur soit,
Et plus ne mêlez votre onde
A l'or de l'arène blonde,
Dont votre fond jaunissoit...

Chacune chose décline
Au lieu de son origine
Et l'an, qui est coutumier
De faire mourir et naître,
Ce qui fut rien, avant qu'être,
Réduit à son rien premier.

Mais la tristesse profonde,
Qui d'un pied ferme se fonde
Au plus secret de mon coeur,
Seule immuable demeure,
Et contre moi d'heure en heure
Acquiert nouvelle vigueur...

Quelque part que je me tourne,
Le long silence y séjourne
Comme en ces temples dévots,
Et comme si toutes choses
Pêle-mêle étaient r'encloses
Dedans leur premier Chaos...

Maudite donc la lumière
Qui m'éclaira la première,
Puisque le ciel rigoureux
Assujettit ma naissance
A l'indomptable puissance
D'un astre si malheureux...

Heureuse la créature
Qui a fait sa sépulture
Dans le ventre maternel !
Heureux celui dont la vie
En sortant s'est vue ravie
Par un sommeil éternel !...

Sus, mon âme, tourne arrière,
Et borne ici la carrière
De tes ingrates douleurs.
Il est temps de faire épreuve,
Si après la mort on treuve
La fin de tant de malheurs.

poésie de Joachim du BellaySignalez un problèmeDes citations similaires
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La Belle Dame

Dans le chaland moussu, la petiote ignorant
Sa figure comme son âme,
Pour la première fois, près de sa sœur qui rame,
Va sur l’étang vert transparent.

« Oh ! fait-elle, soudain, vois donc la belle dame
Là, dans l’eau, l’œil bien grand... bien grand ! »
Et, le cœur gros, les yeux déjà mouillés, reprend :
« Moi ! j’voudrais ben l’embrasser, dame ! »

La sœur répond : « Pleur’ pas ! c’te personn’là, ma foi !
Est ni plus ni moins bell’ que toi. »
Puis, elle ajoute, goguenarde :

« Au surplus, ton envie est commode à passer !
Tu n’as toi-mêm’ qu’à t’embrasser
Puisque c’est toi-mêm’ que tu r’gardes.

poésie de Maurice RollinatSignalez un problèmeDes citations similaires
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Le Fantôme du crime

La mauvaise pensée arrive dans mon âme
En tous lieux, à toute heure, au fort de mes travaux,
Et j’ai beau m’épurer dans un rigoureux blâme
Pour tout ce que le Mal insuffle à nos cerveaux,
La mauvaise pensée arrive dans mon âme.

J’écoute malgré moi les notes infernales
Qui vibrent dans mon cœur où Satan vient cogner ;
Et bien que j’aie horreur des viles saturnales
Dont l’ombre seulement suffit pour m’indigner,
J’écoute malgré moi les notes infernales.

Mon crâne est un cachot plein d’horribles bouffées ;
Le fantôme du crime à travers ma raison
Y rôde, pénétrant comme un regard de fées.
Faut-il que ma vertu s’abreuve de poison !
Mon crâne est un cachot plein d’horribles bouffées.

Le meurtre, le viol, le vol, le parricide
Passent dans mon esprit comme un farouche éclair,
Et quoique pour le Bien toujours je me décide,
Je frémis en voyant ramper dans mon enfer
Le meurtre, le viol, le vol, le parricide.

Et pourtant l’assassin à mes yeux est vipère ;
Je fuis le moindre escroc comme un pestiféré
Et je maudis le fils qui poignarde son père.
Souvent, le meurtre parle à mon cœur effaré,
Et pourtant l’assassin à mes yeux est vipère.

Je plains sincèrement la fille violée
Et je la vengerais si j’en avais le droit ;
Mais par d’impurs désirs mon âme harcelée
Pour séduire une enfant cherche un moyen adroit ;
Je plains sincèrement la fille violée.

Le Mal frappe sur moi comme un flot sur la grève :
Il accourt, lèche et fuit, sans laisser de limon,
Mais je conserve hélas ! le souvenir du rêve
Où j’ai failli saigner sous l’ongle d’un démon.
Le Mal frappe sur moi comme un flot sur la grève.

Satan ! dans la géhenne où tes victimes brûlent,
Tu convoites un cœur qui n’est pas né pour toi ;
Souverain d’un empire où les peuples pullulent,
Qu’as-tu besoin encor d’un juste sous ton toit,
Satan, roi des enfers où tous les damnés brûlent ?

Ô toi ! Cause première à qui l’effet remonte,
Aux yeux de Lucifer voile mon flanc si nu !
Et dans l’affreux danger qui parfois me démonte,
Je me sentirai fort si je suis soutenu
Par toi, Cause première à qui l’effet remonte !

L’homme est donc bien pervers, ou le ciel bien féroce !
Pourquoi l’instinct du Mal est-il si fort en nous,
Que notre volonté subit son joug atroce
À l’heure où la prière écorche nos genoux ?...
L’homme est donc bien pervers, ou le ciel bien féroce !

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Mars, vergogneux d'avoir donné tant d'heur

Mars, vergogneux d'avoir donné tant d'heur
A ses neveux que l'impuissance humaine
Enorgueillie en l'audace romaine
Semblait fouler la céleste grandeur,

Refroidissant cette première ardeur,
Dont le Romain avait l'âme si pleine,
Souffla son feu, et d'une ardente haleine
Vint échauffer la gothique froideur.

Ce peuple adonc, nouveau fils de la Terre,
Dardant partout les foudres de la guerre,
Ces braves murs accabla sous sa main,

Puis se perdit dans le sein de sa mère,
Afin que nul, fût-ce des dieux le père,
Se pût vanter de l'empire romain.

poésie de Joachim du BellaySignalez un problèmeDes citations similaires
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Au lieu de voir les choses comme vous les imaginez, apprenez à les voir comme elles sont. Quand vous pourrez voir chaque chose comme elle est, vous vous verrez également comme vous êtes.

citation de Nisargadatta MaharajSignalez un problèmeDes citations similaires
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Esprit royal, qui prends de lumière éternelle

Esprit royal, qui prends de lumière éternelle
Ta seule nourriture et ton accroissement,
Et qui de tes beaux rais en notre entendement
Produis ce haut désir qui au ciel nous rappelle,

N'aperçois-tu combien par ta vive étincelle
La vertu luit en moi ? n'as-tu point sentiment
Par l'oeil, l'ouïe, l'odeur, le goût, l'attouchement,
Que sans toi ne reluit chose aucune mortelle ?

Au seul objet divin de ton image pure
Se meut tout mon penser, qui par la souvenance
De ta haute bonté tellement se rassure,

Que l'âme et le vouloir ont pris même assurance
(Chassant tout appétit et toute vile cure)
De retourner au lieu de leur première essence.

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Si la perte des tiens, si les pleurs de ta mère

Si la perte des tiens, si les pleurs de ta mère,
Et si de tes parents les regrets quelquefois,
Combien, cruel Amour, que sans amour tu sois,
T'ont fait sentir le deuil de leur complainte amère :

C'est or qu'il faut montrer ton flambeau sans lumière,
C'est or qu'il faut porter sans flèches ton carquois,
C'est or qu'il faut briser ton petit arc turquois,
Renouvelant le deuil de ta perte première.

Car ce n'est pas ici qu'il te faut regretter
Le père au bel Ascagne : il te faut lamenter
Le bel Ascagne même, Ascagne, ô quel dommage !

Ascagne, que Caraffe aimait plus que ses yeux :
Ascagne, qui passait en beauté de visage
Le beau coupier troyen qui verse à boire aux dieux.

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